La gestion du temps

Il n’y a pas de secrets ni de formules magiques. La gestion du temps passe par l’exploitation et l’utilisation d’un calendrier. En plus, il en existe en ligne aujourd’hui. Ce n’est pas un simple calendrier qui se contente de donner des dates. C’est un calendrier que vous pouvez personnaliser. Vous y inscrivez vos dates de début et de fin d’examens. Vous y notez les jours et les mois de chaque épreuve. Vous y inscrivez les vacances scolaires. Faites figurer également sur ce calendrier les dates auxquelles vous pensez commencer vos révisions, les passages dans les bibliothèques, les deadlines des devoirs à rendre. Bref, vous consignez sur ce calendrier en ligne tous les évènements qui rythment votre vie de lycéens et d’étudiants. Utilisez le calendrier en complément d’un agenda. Ce dernier renferme les détails de chaque événement.

La création d’un planning

Là encore, vous avez besoin d’un calendrier et d’un agenda. Ce planning est prévisionnel : vous l’organisez en vous basant sur les grands évènements du calendrier. Par exemple, vous y notez ce que vous comptez faire après le début de vos examens. Réservez des créneaux horaires pour les recherches, les loisirs, les activités universitaires en dehors des cours, etc. Établissez ce planning avant le début de chaque semaine. Même si la créativité est un atout à l’université, la gestion de votre temps devrait relever d’une routine : faites toujours la même chose à telle heure. C’est de cette manière que vous maîtrisez facilement votre emploi du temps. Naturellement, les heures et les jours de cours ne changent jamais sans des circonstances particulières. Enfin, en vous aidant d’un calendrier et en créant un emploi du temps, il y a moins de risque que vous vous adonniez à la procrastination. La vue des dates « limites » qui s’approchent constitue un moyen de pression pour vous forcer à vous mettre au travail.

La priorisation

Faites la différence entre ce qui est urgent et important. L’urgence est une priorité : faites toujours en premier vos tâches en lien avec une échéance très proche. Poursuivez avec ce qui est important (par exemple : occupez-vous des matières de base de votre filière, celles dont dépend votre réussite). Dans ce qui est important, commencez par les activités chronophages ou qui nécessitent un temps long de compréhension.

Après les cours

Lorsque vous sortez d’une discipline, vous devez avoir compris au moins 80 % de son contenu. Après les cours, n’allez pas tout de suite à vos autres activités. Ne fixez jamais de rendez-vous dans les quelques heures qui suivent la fin de journée à l’université ou au lycée. Rentrez immédiatement chez vous pour relire vos cours. Cette fois-ci, l’objectif est de les assimiler à 100 %. Vous pouvez ressortir une fois que l’objectif est atteint. Les recherches en bibliothèques ont lieu lorsque vous maîtrisez les cours et non avant.

Un secteur en pleine expansion

Pendant plusieurs années, le graphisme et design digital n’avaient pas leur place. La création de dessins, de logos et autres activités du même type n’avait aucun intérêt. Mais actuellement, cela a évolué et ce volet est quasi indispensable dans tous les secteurs d’activité. Le design et le graphisme digital sont issus de diverses spécialités qui ne cessent de s’étendre.

Dans presque tous les domaines, le designer numérique est indispensable. Grâce à la démocratisation de l’interactivité, ce professionnel se spécialise dans la création de sites web, la conception de logiciels, d’applications mobiles ou de services multimédias.

Collaborant avec des graphistes et d’autres professionnels, il y intègre des sons et des images. De plus, le designer digital et le graphiste sont quasi indispensables dans la mesure où toutes les entreprises ont besoin d’un site web pour avoir la chance de se faire un nom dans leur domaine.

Des débouchés multiples

Une fois votre diplôme en poche, vous avez la possibilité de choisir le statut que vous voulez. Vous avez en effet la possibilité d’exercer dans une entreprise ou de travailler à votre propre compte en tant que freelance. Ces types de statuts ont chacun leurs avantages et leurs inconvénients et il vous appartient de choisir celui qui vous convient.

Après un master en design graphique et numérique par exemple, vous pouvez évoluer dans le monde de la communication visuelle ou postuler comme designer graphique, directeur artistique, UX designer, chef de projet, motion designer, parmi tant d’autres.

Il est à noter que les métiers du design sont en pleine expansion et ont un avenir prometteur devant eux. Il concerne notamment le monde du commerce et de l’ingéniorat. Avec un diplôme approprié, il est possible d’exercer la profession de responsable en packaging. Si le secteur du transport vous attire, il est possible de vous orienter vers le design ferroviaire ou automobile. Les autres secteurs sont également accessibles comme celui du textile ou de la mode.

Des formations sur mesure

Pour devenir designer numérique ou graphiste, vous pouvez suivre plusieurs formations allant du Bac+3 au Bac+5.

Pour avoir un diplôme de niveau bas +3, le BUT Métiers du multimédia et de l’internet (MMI) et le DNMADE (Diplôme National des Métiers d’Art et de Design) constituent d’excellentes options. Mais pour acquérir plus de compétences et d’expérience équivalant à un bac+5, les étudiants doivent se spécialiser. Pour ce faire, ils peuvent opter pour une école qui forme des futurs ingénieurs en image, multimédia, audiovisuel et communication.

Les formations de type bachelor design et graphisme sont également disponibles. Ces programmes sont très prisés, car ils donnent l’occasion à l’étudiant de continuer ses études et de travailler en même temps.

Ils constituent de véritables tremplins pour intégrer le monde professionnel. Ces formations sont, en effet, axées sur la mise en pratique par le biais de stages en entreprise ainsi que la possibilité de poursuivre vos études dans une école à l’étranger si vous le souhaitez.

Profiter d’une formule de séjour linguistique

Vous pouvez partir étudier à l’étranger juste après le bac ou après une année d’étude dans un institut supérieur. Vous pouvez partir dans le but d’améliorer vos connaissances linguistiques et d’enrichir votre CV. Pour cela, vous pouvez donc participer à un programme de séjour linguistique, dont la durée varie selon vos objectifs. Quel que soit votre âge, vous pouvez choisir un pays et partir à l’étranger pendant une durée déterminée pour profiter d’un séjour linguistique. Ce dernier est une excellente alternative pour ceux qui n’ont pas tout de suite envie d’étudier après le baccalauréat, mais souhaitent améliorer leur connaissance en langue. On appelle ça souvent une année sabbatique ou gap year. De nombreux organismes présentent de nos jours ce type de séjour qui s’adapte au rythme et au besoin de chacun dans une multitude de pays comme l’Allemagne, l’Australie, l’Angleterre, le Canada, la Belgique, etc. Le principal avantage d’opter pour le séjour linguistique est sa souplesse. Vous pouvez choisir une formule qui vous convient selon votre profil, vos attentes, les types de cours que vous désirez, l’endroit où vous voulez aller, etc.

Participer à un programme d’échange

Si vous voulez aller étudier à l’étranger, vous pouvez également participer à un programme d’échange. Des organismes comme Erasmus proposent ce genre de programme afin de permettre aux jeunes étudiants de partir, via une bourse, dans un pays spécifique afin d’étudier, de découvrir la culture, la tradition, les richesses et la langue de ce pays. Grâce à ces organismes, l’inscription de l’étudiant et le voyage sont facilités. Il existe d’autres organismes spécialisés dans le domaine de programme d’échange, comme le CREPUQ qui permet d’aller étudier plus facilement au Québec ou la Mission Interuniversitaire de Coordination Échanges Franco-Américains (MICEFA) qui vous aide à suivre une formation en France ou en Amérique. Dans tous les cas, si vous voulez participer à un programme d’échange, vous devez savoir qu’il est important de s’organiser très tôt, car les places disponibles sont toujours très limitées alors qu’il y a une forte demande.

Choisir un établissement à l’étranger et s’y inscrire

Vous pouvez choisir vous-même une école en particulier et vous y inscrire pour prétendre à un master, un bachelor ou un doctorat. Mais avant de faire votre inscription, informez-vous au préalable sur les équivalences des diplômes pour que vous puissiez poursuivre vos études ailleurs par la suite. En effet, des établissements ne reconnaissent pas les diplômes de certains instituts, ainsi lorsque l’étudiant veut poursuivre ses études, il doit repasser la dernière année, ce qui fait perdre du temps. En général, un étudiant qui a déjà suivi un cursus de 2 ans et qui a eu un DUT ou un BTS devra pouvoir préparer sa licence dans une autre école de son choix à l’étranger. Néanmoins, cela dépend des règles instaurées par l’école choisie. Mieux vaut donc opter pour des instituts qui offrent des diplômes reconnus à l’échelle internationale ou du moins dans tous les pays européens. Vous pouvez aussi vous renseigner sur le système éducatif américain, en visitant http://blog.lyceepourtous.fr. Vous pouvez y trouver divers conseils et idées.

Les autres moyens permettant de partir étudier à l’étranger

Selon vos objectifs, il existe d’autres moyens de partir étudier à l’étranger. Si vous voulez avoir un double diplôme pour pouvoir prétendre à un métier à l’international, vous pouvez vous inscrire dans une université ou une grande école qui propose des « doubles diplômes » aux élèves qui ont suivi un cursus scolaire alterné. Dans ce cas, l’établissement se chargera de garantir le lien avec l’école partenaire. Sinon, vous pouvez aussi effectuer une double inscription dans deux écoles distinctes. Si vous voulez partir à l’étranger pour un volontariat ou pour effectuer un stage, vous pouvez partir dans le cadre de vos études sans vous inscrire dans un institut, notamment pendant les années de césure. Pour un stage à l’étranger, assurez-vous d’établir la convention requise entre l’entreprise preneur et le stagiaire afin de stipuler les conditions. Enfin, avant de partir, n’oubliez pas de vous informer sur les études et les financements possibles, ainsi que sur le coût de la vie dans le pays et l’assurance en cas de maladie. Tout cela est essentiel pour éviter les mauvaises surprises en arrivant à destination et pour garantir une année d’étude et de découverte sereine.

Le cursus universitaire en science politique

L’entrée dans une université de sciences politiques diffère selon l’institution. La particularité de cette science est le fait d’avoir très peu de licences, car le parcours commence après trois premières années au sein d’autres filières. Les étudiants avec une licence en économie, en sociologie ou en histoire seront plus adeptes à se spécialiser en sciences politiques par exemple.
Par contre, obtenir un master est plus facile à faire et les débouchés sont vastes et très intéressants. Dans le secteur public par exemple, un diplômé en sciences politiques pourra devenir conseiller ministériel. Dans le secteur privé et entrepreneurial, il pourra postuler dans des agences de communication et de médias.

L’institut Sciences Po de Paris

La meilleure institution de sciences politiques en France n’est nul autre que la fameuse Sciences Po de Paris. Le premier cycle universitaire s’étend sur trois années, à la fin duquel l’étudiant recevra son diplôme de niveau Bachelor. On y traitera des aspects fondamentaux des sciences humaines, c’est-à-dire l’histoire, le droit, l’économie et bien évidemment les sciences politiques en elles même.
Une fois le collège universitaire achevé, le cursus continue sur deux années de master. Il est à savoir que les candidatures prises durant les concours sont limitées, ce qui rend l’admission assez difficile. Une fois le master en poche, le diplômé pourra prétendre aux postes dans l’administration publique, dans la coopération internationale ou encore dans le secteur de l’audit.

Quels sont les avantages des cours donnés par un étudiant qualifié ?

Certes, les cours donnés par un étudiant qualifié sont plus économiques, puisqu’ils coûtent en moyenne 15 à 20 € par heure si c’est 25 à 35 € par heure pour des cours avec un professeur expérimenté. Par ailleurs, en optant pour des cours avec un jeune étudiant, votre enfant sera plus à l’aise et plus motivé. Il apprendra plus facilement les cours, puisque l’étudiant qualifié qui joue le rôle de l’enseignant comprend bien ses problèmes face à la pression des examens, aux difficultés scolaires et à la peur d’avoir de mauvaises notes. Bref, il sera plus facile pour votre enfant d’établir un lien avec son professeur et de capter les cours si son professeur est un jeune étudiant plutôt qu’un professeur assez âgé.

Comment trouver le bon étudiant qualifié pour des cours à votre enfant ?

Il n’est pas toujours facile de choisir le professeur qui se chargera de l’étude de son enfant. Heureusement, avec internet et les sites spécialisés, il est devenu plus simple et plus rapide de trouver un enseignant privé pour son enfant selon ses besoins et son budget. En effet, il existe aujourd’hui différents sites qui proposent de vous mettre facilement en contact avec des étudiants certifiés prêts à dispenser des cours pour votre enfant, à domicile ou en ligne. Vous pouvez notamment trouver un étudiant qualifié qui pourra aider votre enfant sur des sites de petites annonces ou auprès d’agences comme CleverMate. Ce site propose des cours particuliers avec des étudiants certifiés maitrisant différentes matières. Avec plus de 24 000 étudiants certifiés, la plateforme vous invite à trouver un étudiant qualifié et disponible de suite pour aider vos enfants dans leurs études, à passer leurs concours, à réussir leurs examens.

Comment bien choisir l’étudiant certifié pour donner des cours à son enfant ?

Pour être sûr de bien choisir l’étudiant certifié pour donner des cours à votre enfant, prenez le temps de vous informer de ses compétences et de ses expériences. Est-ce qu’il a déjà donné des cours à d’autres enfants ou est-ce que c’est la première fois ? L’expérience compte beaucoup. Par ailleurs, si votre enfant a surtout besoin d’aide en mathématique, vous devez choisir un étudiant qui a des compétences en la matière. Si votre enfant a besoin d’aide en anglais, vous devez privilégier un étudiant en langue anglaise. Vous pouvez donc choisir un étudiant qui possède un diplôme littéraire. Enfin, n’oubliez pas d’évaluer les méthodes de travail que propose l’étudiant avant de l’engager comme prof privé pour votre enfant. Il doit avoir des méthodes particulières pour apprendre les cours à votre enfant. Il ne doit pas se contenter de réciter les leçons, cela n’apporterait pas de l’aide à votre enfant.

Qu’est-ce qu’un visualiseur ?

Un visualiseur est un dispositif électronique composé principalement d’une caméra, d’une lampe et d’un projecteur. La caméra sert à effectuer un enregistrement et le projecteur diffuse cet enregistrement en temps réel. La lampe permet quant à elle d’éclairer le sujet à filmer. La projection peut se faire sur n’importe quelle surface (mur, tableau blanc, etc.). Un visualiseur a souvent la forme d’une lampe de bureau. Ce dispositif est le descendant du rétroprojecteur et son utilisation offre plus de flexibilité. Elmo figure parmi l’une des premières entreprises à proposer des visualiseurs, et ce, dès l’année 1988. L’avantage avec un visualiseur c’est qu’il peut aussi être mobile. C’est-à-dire qu’il est entièrement indépendant et fonctionne sans fil. Utiliser un visualiseur mobile facile à transporter permet aux enseignants de se partager l’appareil. A noter que certains modèles peuvent également s’utiliser avec un ordinateur afin de diffuser des images préenregistrées.

L’utilité d’un visualiseur

Si le vidéoprojecteur sert uniquement à la diffusion de fichier au format numérique, un visualiseur de bureau offre plus de possibilités. Placé sur son bureau, le visualiseur permet à l’enseignant de faire une présentation à tous les élèves sans avoir à se déplacer. Lors des travaux pratiques, si une manipulation complexe est requise, l’enseignant n’aura qu’à présenter les actions à suivre à l’aide du visualiseur. Pour présenter un document non numérique à toute la classe, il lui suffira de le filmer avec le visualiseur pour qu’il apparaisse sur l’écran de projection. De ce fait, présenter un devoir, présenter un objet quelconque, faire un exposé, etc., toutes ces actions seront simplifiées à l’aide du visualiseur de documents. Puisqu’il facilite les échanges entre les élèves et l’enseignant, ce dispositif peut être considéré comme étant interactif. Cet outil a aussi une grande utilité dans de nombreux domaines autres que l’enseignement.

Comment choisir un visualiseur ?

Les visualiseurs de documents sont généralement moins chers que les autres types d’outils de projection. Il est possible d’en trouver à 50 euros ou moins. Il faut juste faire attention à la qualité de l’appareil. Ce dernier doit avoir une bonne qualité de diffusion et être capable de projeter avec une luminosité suffisante. La caméra doit être facile à manipuler afin de pouvoir la diriger correctement sur la surface à filmer. Il faut aussi noter que les appareils non flexibles risquent d’avoir du mal à visualiser un fichier A4 dans sa totalité. Il est donc plus judicieux de choisir les modèles capables de lire ce format sans recourir à une astuce quelconque. Pour avoir plus de flexibilité sur les types d’éléments à projeter, il est utile de choisir un modèle ayant des fonctionnalités supplémentaires. Il existe des appareils capables de travailler avec ou sans PC pour effectuer des diffusions de fichier numérique. Certains sont également très indépendants et peuvent, par exemple, utiliser un stockage amovible pour enregistrer des fichiers et les diffuser sous forme de diaporama. Leur prix est logiquement plus cher que ceux des modèles au fonctionnement plus simple.

Préparez-vous !

La préparation d’un concours se fait bien longtemps avant ledit concours. Avant le début de l’année scolaire, vous devrez de ce fait, déjà préparer votre concours dans une des grandes écoles. En premier lieu, achetez les œuvres du programme prévu en veillant à ce qu’ils soient de la même édition que celui de votre professeur. Cela vous sera utile lorsque vous aurez à consulter des pages et des références données par votre professeur. Commencez ensuite la lecture de ces œuvres, car une fois que l’année scolaire sera lancée vous risquez d’avoir peu de temps à leur consacrer. Lisez, surlignez ou notez quelques parts les citations qui vous sembleront utiles et que vous réutiliserez lors de la dissertation. Il existe des œuvres résumées qui ne seront utiles que pour faire un survol des grandes idées présentes dans l’œuvre originale. Ils peuvent s’avérer utiles dans certains cas.

Entrainez-vous !

Pour vous donner une idée générale de ce qui vous attend lors d’une dissertation durant un concours, vous pouvez consulter des sujets types. Vous pourrez traiter ces sujets en guise d’entraînement lorsque vous en avez le temps, chez vous. Il est aussi possible que votre professeur vous propose de traiter différents types de sujets en cours. Dans ce cas, ne calquez surtout pas la correction donnée par le professeur une fois au concours. La correction du sujet doit juste servir à voir la manière dont il faut structurer et présenter ses idées. Soyez aussi attentifs durant les cours. Notez les citations données par le professeur et suivez ses conseils. Les devoirs surveillés seront également des entraînements utiles pour vous. En dehors des cours, vous devrez consacrer du temps à la lecture ou à la relecture des œuvres proposées pour le programme. Ce n’est qu’en répétant fréquemment ces lectures que les citations pourront rester dans votre mémoire. De plus, il est possible que vous développiez de nouvelles idées suite à vos relectures. Ces idées vous seront utiles pour fortifier votre raisonnement lors de la dissertation.

Soignez votre dissertation !

Pour veiller à ce que votre dissertation soit bien faite, il y a quelques points essentiels qu’il faudra respecter. D’abord, lisez bien la question pour éviter les hors sujets. Prenez un certain temps pour analyser ce que vous demande le sujet avant d’établir votre plan et de vous lancer dans la rédaction. Pensez à inclure les citations d’une manière intelligente pour prouver que vous avez lu et compris l’œuvre dans lequel le sujet a été tiré. Vous pouvez aussi utiliser d’autres citations philosophiques du moment qu’elles illustrent correctement vos idées. Veillez aussi à ne pas faire de dissertation trop longue, vos idées doivent être développées de la manière la plus claire possible. Mais une dissertation trop courte non plus ne sera probablement pas plus appréciée par les correcteurs. Enchainez bien les parties pour que le correcteur puisse voir clairement le fil de vos idées. Pour cela, avant même d’entamer l’exercice, vous devrez établir un plan. Cela permettra de poser votre fil d’idées et d’éviter de tâtonner durant la production.

Au coeur du métier

Le psychologue clinicien intervient aussi dans les hôpitaux dans les services de pédiatrie par exemple, mais également auprès de la justice, en vue des expertises ou dans le cadre de la protection judiciaire des jeunes. Puis, il y a la psychologie du travail et des organisations qui est rattachée aux ressources humaines, les cabinets de recrutement ou les boites d’études marketing. La psychologie sociale accompagne les salariés, la psychologie cognitiviste s’applique en marketing, en études économiques, en publicité, etc. et destinée à comprendre au mieux le comportement du public ou de certaines tranches de la population. Et enfin, la psychologie de l’Education nationale participe au cursus des élèves, que ce soit les écoliers, les collégiens, les lycéens ou les universitaires.

Etudes et formations indispensables

Pour devenir psychologue, il faut un niveau bac + 5 au minimum, délivré par l’une ou l’autre de ces deux écoles : le Cnam à Paris et en région, mais seulement pour la psychologie du travail et l’Ecole des psychologues praticiens à Paris et à Lyon. Précision cependant : pour devenir psychologue scolaire, il faut suivre le même parcours et puis, passer le concours de recrutement des psychologues de l’Education nationale et d’une année de formation ou de stage à l’Education nationale. Pour le métier de psychothérapeutes, un master en formation en psychopathologie est
requis dans les écoles et les sociétés de psychanalyse organisatrices de la profession. Et pour le métier de psychiatre, en plus du parcours sus-cité, il faut surtout des études en médecine sont obligatoires, plus précisément dans la médecine spécialisée.

Le programme Erasmus

Pour financer vos études dans un pays européen, vous pouvez explorer le programme Erasmus. Ce dernier a pour but d’offrir une opportunité aux étudiants de poursuivre ses études à l’étranger pour 3 à 12 mois. Ce privilège n’est réservé qu’aux étudiants pouvant poursuivre une formation dans la continuité des études qu’ils ont déjà faites en France. L’organisme responsable offre, pour chaque cursus, un financement des études et aussi une aide pour la période de stage. Le montant que vous allez percevoir dépend de la durée de votre séjour, mais aussi du pays d’accueil. En moyenne, l’aide financière est entre 200 et 350 €, ceci assurera les frais pour vos études et votre quotidien. Pour bénéficier de cette bourse, vous devez vérifier les conditions imposées par l’université d’accueil. On peut également vous exiger un bon niveau linguistique.

Le programme Leonardo

Ce programme fait référence à l’artiste Léonard de Vinci. Le programme Leonardo est destiné aux étudiants venant des pays membres de l’Union Européenne et à ceux qui viennent de la Suisse, du Liechtenstein, de l’Islande, de la Roumanie, du Norvège, de la Turquie et de la Bulgarie. Il vous permettra d’avoir un financement lors d’un stage. Grâce à cette bourse, vous pourrez partir à l’étranger durant un an. Ce sont les étudiants européens ayant un bac+2 et qui veulent faire un stage à l’étranger qui peuvent avoir cette bourse. L’étudiant pourra avoir environ 300 € par mois et l’organisme responsable peut aussi octroyer les billets d’avion aller/retour dans un vol économique. Si l’étudiant a également des difficultés par rapport à la langue dans le pays d’accueil, il pourra aussi avoir 250 € en plus pour une formation linguistique.