Emploi – Toujours des mots https://www.toujoursdesmots.com Orientation, études et emploi Tue, 12 Mar 2024 08:18:07 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.4.3 https://www.toujoursdesmots.com/wp-content/uploads/2019/10/cropped-slogan-32x32.png Emploi – Toujours des mots https://www.toujoursdesmots.com 32 32 Métiers du journalisme : des formations pointues et exigeantes https://www.toujoursdesmots.com/metiers-du-journalisme-des-formations-pointues-et-exigeantes/ https://www.toujoursdesmots.com/metiers-du-journalisme-des-formations-pointues-et-exigeantes/#respond Tue, 12 Mar 2024 08:02:19 +0000 https://www.toujoursdesmots.com/?p=334 Lire la suite…]]> La désinformation bat son plein. L’actualité regorge de fake news. Face à cette situation, les fact checking deviennent indispensables. Et qui sont les mieux placés pour réaliser ces vérifications afin de restaurer la vérité ? La réponse : les journalistes. Mais pour être un journaliste professionnel (et au passage recevoir sa carte de presse), il faut suivre une formation. Cet article vous en dit un peu plus sur les études en journalisme.

Journalisme : une profession qui n’a pas perdu son intérêt

Le Web et surtout les réseaux sociaux ont permis l’émergence d’un nouveau profil : des experts dans un domaine qui communiquent tellement bien sur leurs passions tant et si bien que le public a tendance à les confondre avec des journalistes. Mais, ils ne le sont pas ni ne les remplacent. Les journalistes continuent d’être utiles à la société. Les raisons sont nombreuses.

La société a besoin d’informations de qualité (neutres, objectives, précises). On l’a vu en introduction, la prolifération des fake news accentue ce besoin. Les journalistes sont formés pour aller à la recherche d’informations fiables : c’est une démarche qui exige beaucoup de rigueur de leur part. Ils apprennent également à communiquer au public les conclusions de leurs recherches. Lorsqu’ils informent le public, ils doivent faire preuve d’honnêteté. Derrière cette collecte d’information et de communication, il y a des techniques à déployer que les journalistes acquièrent durant leurs formations. Il n’existe qu’une poignée d’université et d’écoles à être habilitées à donner des formations en journalisme. L’accès à ces formations est difficile. En clair, tout le monde ne peut s’improviser journaliste.

Les compétences journalistiques continuent d’être très utiles pour la société. Parmi elles, on peut citer celles-ci :
• la collecte d’informations,
• la vérification des faits,
• la capacité d’analyse et de synthèse,
• les techniques d’écriture et de communication.
De nombreux métiers font appel à ces compétences : les journalistes peuvent les transmettre à ceux qui exercent. L’absence ou la disparition du journalisme handicaperaient certainement ces métiers.

Certes, les médias traditionnels sont en difficulté au 21e siècle. Fort heureusement, on assiste à l’émergence et au développement de nouveaux modèles :
• journalisme en ligne,
• journalisme de données,
• newsletters,
• podcasts,
Les personnes qui ont suivi des études en journalisme n’ont aucun problème pour saisir ces nouvelles opportunités. Dans ces domaines la rigueur journalistique est fondamentale.

Le journalisme n’est pas qu’une profession. Il mène également une mission d’intérêt général au service de la démocratie et, plus largement, de la société ainsi que de l’Humanité. Les professionnels qui l’exercent de manière irréprochable et consciencieusement contribuent à l’information des citoyens et à l’enrichissement du débat public.

Les différents métiers autour du journalisme

Voici une liste, loin d’être complète, des différentes fonctions qu’un journaliste professionnel peut occuper. Cette liste regroupe également les différents types de journalisme.

Les métiers

• Journaliste reporter : il collecte les informations sur le terrain, réalise des interviews, assiste à des événements et rédige des articles ou réalise un reportage vidéo/photo. Dans cette catégorie, on distingue le reporter (presse écrite, télévision, radio), le reporter-photographe (spécialiste du photojournalisme), le journaliste reporter d’images et le reporter de guerre.

• Journaliste d’investigation : il mène des enquêtes approfondies sur des sujets spécifiques, souvent sur une longue période.

• Journaliste spécialisé : il se concentre sur un domaine particulier comme la politique, l’économie, le sport, la culture, etc.

• Correspondant à l’étranger, également appelé correspondant de presse : il couvre l’actualité d’un autre pays.

• Présentateur (radio ou TV) : il présente les informations à l’antenne.

• Journaliste multimédia/web : il produit du contenu pour les plateformes numériques (sites web, réseaux sociaux…).

• Journaliste de données : il collecte, analyse et visualise des données relatives à des sujets d’actualité.

• Fact-checker : il vérifie les faits dans les articles pour s’assurer de leur exactitude.

Les fonctions ou la hiérarchie

• Directeur de la publication : il est le responsable légal de ce qui est publié. Il se trouve au sommet de la hiérarchie. Il définit la ligne éditoriale et veille à son application.

• Rédacteur en chef : il supervise l’équipe éditoriale, décide des sujets à couvrir et est responsable du contenu final. Son supérieur hiérarchique est le directeur de la publication. Il attribue les sujets à traiter aux journalistes, relit et valide les articles avant publication (dans la presse écrite) ou les reportages avant diffusion. Il s’assure que le contenu est conforme à la ligne éditoriale définie par le directeur de la publication. Dans les grandes rédactions, il peut y avoir plusieurs rédacteurs en chef.

• Secrétaire de rédaction : il s’assure que les articles sont bien écrits, que les faits relatés sont corrects et cohérents et conformes à la ligne éditoriale.

L’accès aux métiers du journalisme

Parmi les écoles qui proposent des formations en journalisme, il y a Narratiiv. Le cursus dure 4 ans au cours duquel l’étudiant décroche un bachelor avant de s’orienter vers une spécialisation en 4e année certifiante. Les personnes qui suivent cette formation deviennent journalistes dans l’un des domaines suivants : sport, plurimédia, reporter d’images, radiotélévision. Elles ont également la possibilité de devenir expertes en création de podcasts ou en brand content (contenu de marque). Cette dernière discipline relève du marketing de contenu.

La préparation au bachelor (diplôme d’école) est accessible avec le bac dans les spécialités suivantes : Humanités, Littérature et Philosophie (HLP), Sciences économiques et sociales (SES), Histoire-géographie, géopolitique et sciences politiques (HGGSP). Il va de soi qu’il faut maîtriser au moins l’anglais. Quant aux certificats de 4e année de cette école, ils sont inscrits au RNCP (Répertoire national des certifications professionnelles) au niveau 6. Ce sont des formations exigeantes, voire stressantes. Mais avec la passion on peut venir à bout de n’importe quelle difficulté !

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Orthophoniste : Rôle, formations, compétences, salaire, débouchés et perspectives https://www.toujoursdesmots.com/orthophoniste-role-formations-competences-salaire-debouches-et-perspectives/ https://www.toujoursdesmots.com/orthophoniste-role-formations-competences-salaire-debouches-et-perspectives/#respond Wed, 06 Jul 2022 12:03:03 +0000 https://www.toujoursdesmots.com/?p=296 Lire la suite…]]> Détection des difficultés de langage, traitement de rééducation personnalisé, etc. L’orthophoniste possède un domaine d’expertise large. Si vous souhaitez connaître les ficelles de ce métier, retrouvez dans cet article quelques informations utiles.

1. Rôle de l’orthophoniste

orthophoniste

Le rôle principal de l’orthophoniste est avant tout de prévenir des troubles de la communication et les déficiences associées. Son champ d’intervention concerne les difficultés à exprimer à l’oral, le retard de langage et les défauts de prononciation. Au-delà de ces pathologies, l’orthophoniste peut aussi intervenir lors de troubles neurologiques, de la surdité ou de troubles du spectre autistique. Mais, il doit d’abord identifier les dysfonctionnements avant de les traiter. Lorsqu’il examine le patient, il ne s’appuie pas uniquement sur des variables physiologiques, mais aussi sur des variables socioculturelles et économiques. Son intervention vise à éduquer, conseiller et sensibiliser le public aux pathologies associées à la communication. L’orthophoniste travaille avec les patients, mais également avec d’autres spécialistes comme les médecins, les physiothérapeutes ainsi que les psychologues.

2. Formations et études

Une association qui vise à aider les jeunes à choisir un parcours pour mieux entrer dans le monde actif, donne de nombreux conseils dans son blog. Ainsi, si vous voulez devenir orthophoniste, vous devez suivre ces conseils. En général, il faut suivre une formation de 5 ans dans un centre affilié à une UFR en médecine à l’issue de laquelle vous obtenez un certificat de capacité en orthophonie (CCO). Le cursus comprend plusieurs matières dont l’anatomie, la phonation, la physique acoustique, la linguistique ou encore la psychologie. Pour espérer intégrer l’école, vous devez passer par un examen rigoureux. Les modalités d’examen peuvent être différentes d’un établissement à un autre. Mais quoi qu’il en soit, tous les candidats doivent avoir un excellent niveau en français. Après la formation, il est possible de travailler dans un cabinet individuel ou en groupe et dans un centre hospitalier en tant qu’employé.

3. Les compétences de l’orthophoniste

orthophoniste

En plus des connaissances médicales, physiologiques et techniques pour diagnostiquer et soigner un patient, l’orthophoniste doit également faire preuve de grandes capacités d’analyse et d’observation. Dans ce métier, les qualités humaines, relationnelles et psychologiques sont aussi très importantes. Pour établir une relation de confiance avec son patient, ce professionnel de la santé doit avoir de bonnes capacités d’écoute, de communication et de discrétion. Comme les personnes qu’il soigne sont souvent amenées à lui raconter leurs problèmes, il doit alors se montrer patient, pédagogue, empathique et bienveillant. Une grande capacité de création et d’imagination est également nécessaire pour concevoir un programme adapté à chaque patient.

4. Salaire de l’orthophoniste

Un débutant en début de carrière peut gagner environ 1 600 euros par mois. Pour un orthophoniste en cabinet indépendant, le salaire est compris entre 2 500 et 3 000 euros. Si le spécialiste de la santé choisit de travailler dans des hôpitaux publics, alors sa rémunération sera en fonction de la grille salariale de l’hôpital et de sa position au sein de l’établissement. À titre illustratif, pour un orthophoniste ayant 5 années d’expérience qui travaille à temps plein va toucher environ 2 200 euros par mois.

5. Débouchés du métier d’orthophoniste

orthophoniste

Un orthophoniste a la possibilité de travailler dans le secteur privé ou dans le secteur public et dans le secteur hospitalier ou dans le secteur extra-hospitalier. Il peut exercer son métier en tant qu’employé au sein d’une clinique ou d’un hôpital. Plusieurs institutions peuvent avoir besoin de ce spécialiste : Institut Médico Educatif, Centre Médico Psychologique, Service d’Éducation Spéciale de Soins à Domicile ou Centre de rééducation fonctionnel, etc. Ce professionnel de la santé peut choisir de travailler dans un cabinet en autonomie ou en collaboration avec d’autres orthophonistes. À cet effet, il exerce son métier de façon libérale.

6. Perspectives d’évolution

Après une formation d’orthophoniste, il n’est pas trop difficile de trouver un emploi. Ce professionnel de la santé peut exercer dans un cabinet de groupe paramédical à temps partiel. On peut obtenir un diplôme de cadre de santé après 5 ans d’expérience professionnelle. Pour un orthophoniste privé, il a la possibilité de se spécialiser dans la rééducation des personnes atteintes de troubles récurrents. Si un orthophoniste envisage de travailler dans la recherche ou l’enseignement, alors il faut poursuivre ses études jusqu’au doctorat. Que ce soient dans les cabinets privés ou les hôpitaux, les perspectives d’emploi sont nombreuses. Pour ceux qui ont de l’expérience, ils peuvent prétendre à des postes comme directeur de centres ou de cliniques de réadaptation.

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Manager de transition : un métier hautement sollicité https://www.toujoursdesmots.com/manager-de-transition-un-metier-hautement-sollicite/ https://www.toujoursdesmots.com/manager-de-transition-un-metier-hautement-sollicite/#respond Tue, 04 Jan 2022 09:15:21 +0000 https://www.toujoursdesmots.com/?p=276 Lire la suite…]]> De plus en plus d’entreprises font appel à des managers de transition, ce qui a rendu cette activité de plus en plus attrayante pour beaucoup. Ceux qui s’y intéressent sont surtout d’anciens cadres dirigeants ou des professionnels avertis qui ont de longues années d’expérience à leur actif et de belles années en management. Peut-être que vous voulez, vous aussi, relever le défi et devenir un manager de transition. Voici ce qu’il y a à savoir sur ce métier pas si nouveau que ça, mais hautement sollicité.

Pourquoi devenir manager de transition ?

Il y a un certain nombre d’avantages dans le métier de manager de transition. En voici quelques-uns : en étant manager de transition, vous avez toute latitude pour exploiter à fond toutes vos compétences, et ce, au sein de différentes entreprises et structures. Vous pouvez aussi tester votre capacité d’autonomie et voir à quel point vous êtes capable de prendre des décisions par vous-même dans l’intérêt de l’entreprise. Aussi, être manager de transition requiert un goût prononcé pour les défis, pour l’aventure et pour le risque. En fait, d’une entreprise à une autre, vous serez confronté à un environnement différent, des équipes différentes, une mission différente, pas de place pour la routine. Il faut vous attendre à des impondérables, car aucune entreprise ne ressemble à une autre même si elles sont toutes deux dans le même secteur. Aussi, le métier réclame de vous une grande adaptabilité. Mais devenir manager de transition, c’est faire la connaissance avec de nouveaux collaborateurs, côtoyer une grande diversité de profils, de personnalités. C’est aussi un métier qui vous permet de développer constamment votre savoir-faire, ce qui vous rend apte à répondre à des attentes plus élevées. Puis, étant donné que vous ne cherchez pas à vous intégrer dans l’entreprise, vous détenez une certaine liberté d’action, un certain pouvoir.

Informations utiles pour ceux qui souhaitent devenir manager de transition

Être manager de transition dans un cabinet comme celui-ci présente des atouts considérables si vous aimez le challenge, l’indépendance et si vous possédez des qualités qui apportent une valeur ajoutée aux entreprises où vous intervenez. Mais pour rester un bon manager de transition, il est essentiel de rester performant, ce qui nécessite une formation continue. Certains optent même pour des séances de coaching personnel pour ne jamais perdre la main et s’adapter à l’évolution des entreprises et des usages. C’est de cette manière que vous pourrez mobiliser les équipes et leur donner la motivation utile à la réalisation des projets, et ce, même si la situation est plutôt critique.
Côté rémunération, en principe, celle d’un manager de transition est supérieure à celle d’un dirigeant en CDI. Le portage salarial est encore plus avantageux. Evidemment, si vous apportez des contrats à un cabinet, cela vous donne droit à un complément de salaire. Pour ne pas être pris au dépourvu, sachez que le métier de manager de transition peut comporter des contraintes. Par exemple, vous devez rester constamment mobile, c’est une activité qui vous oblige à bouger souvent. Puis, il y a des périodes où il n’y a pas de mission, donc pas de salaire.

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Les outils innovants pour développer les compétences des employés https://www.toujoursdesmots.com/les-outils-innovants-pour-developper-les-competences-des-employes/ https://www.toujoursdesmots.com/les-outils-innovants-pour-developper-les-competences-des-employes/#respond Fri, 10 Apr 2020 13:08:22 +0000 http://www.toujoursdesmots.com/?p=117 Lire la suite…]]> À l’heure de la digitalisation, les moyens pour se former évoluent et deviennent de plus en plus diversifiés. Ainsi, voici quelques suggestions des outils à privilégier en entreprise pour développer les compétences des collaborateurs.

Le système E-Learning

L’E-Learning n’est plus à présenter, puisque vous avez déjà entendu parler de ce système éducatif maintes fois. En effet, les entreprises font recours à ce moyen pour former ou renforcer les capacités de leurs salariés. Aujourd’hui, l’E-Learning se veut d’être comme un moyen de formation par excellence.

L’utilisation du Micro-Learning

En raison du manque de temps et d’attention longue durée des apprenants, des coutils comme le Micro-Learning sont créés pour former les nouvelles générations en vue d’obtenir des résultats optimales. Les étudiants sont souvent lassés de faire une activité statique qui dure. C’est pourquoi la solution est de proposer des formats plus courts et faciles à mémoriser.

Le Social Learning

Dans le souci d’entreprendre une démarche collaborative, les entreprises ont recherché un moyen pour développer l’esprit d’équipe. Ainsi, le Social Learning est un système qui a pour objectif de favoriser les échanges de bonnes de pratiques et de partage de connaissance entre les collaborateurs. Ces groupes sont avant tout des personnes qui ont les mêmes problèmes et évoluent ensemble dans un réseau d’entreprise en vue d’apporter une solution commune.

Le recours au Mobile Learning

Le Mobile Learning est une démarche qui permet aux employés de se former partout et à tout moment depuis leur Smartphone. En outre, les apprenants peuvent suivre la formation à l’endroit où ils veulent et au moment qu’ils souhaitent. Toutefois, si le collaborateur le veut, il peut avancer sur sa formation en autogérance.

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Au coeur de la gestion du personnel https://www.toujoursdesmots.com/au-coeur-de-la-gestion-du-personnel/ https://www.toujoursdesmots.com/au-coeur-de-la-gestion-du-personnel/#respond Wed, 11 Sep 2019 12:36:41 +0000 http://www.toujoursdesmots.com/?p=19 Lire la suite…]]> Autant une bonne gestion du personnel assure une implication personnelle de chaque membre d’une entreprise, autant une mauvaise entraîne le contraire et impacte négativement sur l’entreprise. Lorsqu’un travailleur qui vient d’être recruté n’est pas utilisé comme il faut, c’est-à-dire au maximum de son potentiel, c’est qu’on l’incite à une non responsabilisation.

Les mauvais scénarios

Un régime de suspicion, de manque de transparence de la part du dirigeant et de dénigrement du personnel fait beaucoup de torts au sein d’une entreprise. Autre scénario qui prouve une mauvaise gestion du personnel : une mauvaise rémunération de celui-ci. On le sait : si les travailleurs produisent plus, l’entreprise gagne plus, ce qui veut dire que l’entreprise peut donner de meilleurs salaires à ses travailleurs. En d’autres termes, il est essentiel d’augmenter la rémunération et les possibilités de promotion de tous ceux qui le méritent. Si cela ne se fait pas, la rentabilité des employés va s’en ressentir petit à petit, notamment si ceux-ci sont conscients de leur potentiel. Il est utile de donner la rémunération qui correspond au rendement d’un salarié.

Si l’on ne valorise pas le personnel

Si, dans une entreprise, le personnel n’est pas ou très peu valorisé, il ne faut pas s’attendre à un bon comportement de la part de celui-ci. Cette valorisation doit se faire à partir du recrutement et se poursuivre en développant leurs compétences à travers des primes, des promotions et des gestes de reconnaissance. Il est important de féliciter un travailleur qui a obtenu de bons résultats qui va travailler encore plus, encore mieux, ce qui est avantageux pour l’entreprise mais aussi pour le travailleur. En plus de travailler uniquement pour gagner de l’argent pour faire vivre sa famille, le personnel le fera parce qu’on reconnaît sa valeur. Un cercle vertueux se met alors en place.

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Les études menant au métier de psychologue https://www.toujoursdesmots.com/les-etudes-menant-au-metier-de-psychologue/ https://www.toujoursdesmots.com/les-etudes-menant-au-metier-de-psychologue/#respond Fri, 15 Mar 2019 11:52:36 +0000 http://www.toujoursdesmots.com/?p=16 Lire la suite…]]> Il existe plusieurs spécialités en psychologie. On peut parler de la psychologie clinicienne dont les méthodes thérapeutiques visent à aider les enfants dans les crèches, auprès des enfants dans les centres médico-pédagogiques, etc.

Au coeur du métier

Le psychologue clinicien intervient aussi dans les hôpitaux dans les services de pédiatrie par exemple, mais également auprès de la justice, en vue des expertises ou dans le cadre de la protection judiciaire des jeunes. Puis, il y a la psychologie du travail et des organisations qui est rattachée aux ressources humaines, les cabinets de recrutement ou les boites d’études marketing. La psychologie sociale accompagne les salariés, la psychologie cognitiviste s’applique en marketing, en études économiques, en publicité, etc. et destinée à comprendre au mieux le comportement du public ou de certaines tranches de la population. Et enfin, la psychologie de l’Education nationale participe au cursus des élèves, que ce soit les écoliers, les collégiens, les lycéens ou les universitaires.

Etudes et formations indispensables

Pour devenir psychologue, il faut un niveau bac + 5 au minimum, délivré par l’une ou l’autre de ces deux écoles : le Cnam à Paris et en région, mais seulement pour la psychologie du travail et l’Ecole des psychologues praticiens à Paris et à Lyon. Précision cependant : pour devenir psychologue scolaire, il faut suivre le même parcours et puis, passer le concours de recrutement des psychologues de l’Education nationale et d’une année de formation ou de stage à l’Education nationale. Pour le métier de psychothérapeutes, un master en formation en psychopathologie est
requis dans les écoles et les sociétés de psychanalyse organisatrices de la profession. Et pour le métier de psychiatre, en plus du parcours sus-cité, il faut surtout des études en médecine sont obligatoires, plus précisément dans la médecine spécialisée.

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