Journalisme : une profession qui n’a pas perdu son intérêt

Le Web et surtout les réseaux sociaux ont permis l’émergence d’un nouveau profil : des experts dans un domaine qui communiquent tellement bien sur leurs passions tant et si bien que le public a tendance à les confondre avec des journalistes. Mais, ils ne le sont pas ni ne les remplacent. Les journalistes continuent d’être utiles à la société. Les raisons sont nombreuses.

La société a besoin d’informations de qualité (neutres, objectives, précises). On l’a vu en introduction, la prolifération des fake news accentue ce besoin. Les journalistes sont formés pour aller à la recherche d’informations fiables : c’est une démarche qui exige beaucoup de rigueur de leur part. Ils apprennent également à communiquer au public les conclusions de leurs recherches. Lorsqu’ils informent le public, ils doivent faire preuve d’honnêteté. Derrière cette collecte d’information et de communication, il y a des techniques à déployer que les journalistes acquièrent durant leurs formations. Il n’existe qu’une poignée d’université et d’écoles à être habilitées à donner des formations en journalisme. L’accès à ces formations est difficile. En clair, tout le monde ne peut s’improviser journaliste.

Les compétences journalistiques continuent d’être très utiles pour la société. Parmi elles, on peut citer celles-ci :
• la collecte d’informations,
• la vérification des faits,
• la capacité d’analyse et de synthèse,
• les techniques d’écriture et de communication.
De nombreux métiers font appel à ces compétences : les journalistes peuvent les transmettre à ceux qui exercent. L’absence ou la disparition du journalisme handicaperaient certainement ces métiers.

Certes, les médias traditionnels sont en difficulté au 21e siècle. Fort heureusement, on assiste à l’émergence et au développement de nouveaux modèles :
• journalisme en ligne,
• journalisme de données,
• newsletters,
• podcasts,
Les personnes qui ont suivi des études en journalisme n’ont aucun problème pour saisir ces nouvelles opportunités. Dans ces domaines la rigueur journalistique est fondamentale.

Le journalisme n’est pas qu’une profession. Il mène également une mission d’intérêt général au service de la démocratie et, plus largement, de la société ainsi que de l’Humanité. Les professionnels qui l’exercent de manière irréprochable et consciencieusement contribuent à l’information des citoyens et à l’enrichissement du débat public.

Les différents métiers autour du journalisme

Voici une liste, loin d’être complète, des différentes fonctions qu’un journaliste professionnel peut occuper. Cette liste regroupe également les différents types de journalisme.

Les métiers

• Journaliste reporter : il collecte les informations sur le terrain, réalise des interviews, assiste à des événements et rédige des articles ou réalise un reportage vidéo/photo. Dans cette catégorie, on distingue le reporter (presse écrite, télévision, radio), le reporter-photographe (spécialiste du photojournalisme), le journaliste reporter d’images et le reporter de guerre.

• Journaliste d’investigation : il mène des enquêtes approfondies sur des sujets spécifiques, souvent sur une longue période.

• Journaliste spécialisé : il se concentre sur un domaine particulier comme la politique, l’économie, le sport, la culture, etc.

• Correspondant à l’étranger, également appelé correspondant de presse : il couvre l’actualité d’un autre pays.

• Présentateur (radio ou TV) : il présente les informations à l’antenne.

• Journaliste multimédia/web : il produit du contenu pour les plateformes numériques (sites web, réseaux sociaux…).

• Journaliste de données : il collecte, analyse et visualise des données relatives à des sujets d’actualité.

• Fact-checker : il vérifie les faits dans les articles pour s’assurer de leur exactitude.

Les fonctions ou la hiérarchie

• Directeur de la publication : il est le responsable légal de ce qui est publié. Il se trouve au sommet de la hiérarchie. Il définit la ligne éditoriale et veille à son application.

• Rédacteur en chef : il supervise l’équipe éditoriale, décide des sujets à couvrir et est responsable du contenu final. Son supérieur hiérarchique est le directeur de la publication. Il attribue les sujets à traiter aux journalistes, relit et valide les articles avant publication (dans la presse écrite) ou les reportages avant diffusion. Il s’assure que le contenu est conforme à la ligne éditoriale définie par le directeur de la publication. Dans les grandes rédactions, il peut y avoir plusieurs rédacteurs en chef.

• Secrétaire de rédaction : il s’assure que les articles sont bien écrits, que les faits relatés sont corrects et cohérents et conformes à la ligne éditoriale.

L’accès aux métiers du journalisme

Parmi les écoles qui proposent des formations en journalisme, il y a Narratiiv. Le cursus dure 4 ans au cours duquel l’étudiant décroche un bachelor avant de s’orienter vers une spécialisation en 4e année certifiante. Les personnes qui suivent cette formation deviennent journalistes dans l’un des domaines suivants : sport, plurimédia, reporter d’images, radiotélévision. Elles ont également la possibilité de devenir expertes en création de podcasts ou en brand content (contenu de marque). Cette dernière discipline relève du marketing de contenu.

La préparation au bachelor (diplôme d’école) est accessible avec le bac dans les spécialités suivantes : Humanités, Littérature et Philosophie (HLP), Sciences économiques et sociales (SES), Histoire-géographie, géopolitique et sciences politiques (HGGSP). Il va de soi qu’il faut maîtriser au moins l’anglais. Quant aux certificats de 4e année de cette école, ils sont inscrits au RNCP (Répertoire national des certifications professionnelles) au niveau 6. Ce sont des formations exigeantes, voire stressantes. Mais avec la passion on peut venir à bout de n’importe quelle difficulté !

Une formation, c’est quoi exactement ?

La différence entre les études supérieures et la formation réside dans le fait que l’on ne se base plus uniquement sur la théorie. Les formations ont la particularité de vous préparer directement au travail. Par exemple, il y a une différence entre des études et une formation en informatique. Les études vont vous permettre d’agir n’importe où, mais elle nécessitera toujours une intégration. La formation, en revanche, vous permettra de mettre directement en pratique la conception de A à Z d’une page web.

Les avantages de plusieurs formations

Pour faire court, une formation peut, plus ou moins, être au même niveau qu’un stage. La principale différence est qu’un stage peut être plus vaste et dépend de la situation au travail. Une formation sera plus guidée vers les différentes actions possibles dans un domaine précis. C’est d’ailleurs là l’avantage d’avoir suivi différentes formations. Toutes ces connaissances pratiques seront déjà un bon point quand vous postulez dans une entreprise. N’oubliez surtout pas de prendre votre certificat, car ce sera la première chose qui démontre vos compétences, avant la pratique.

Les formations ont-elles une limite ?

Certes, une formation ne pourra pas tout vous apprendre. C’est comme si l’on vous disait que travailler directement est mieux que d’étudier le domaine du travail. Au départ, oui une simple formation peut suffire. Mais si vous souhaitez accomplir de grandes choses, les études sont alors nécessaires. Le mieux serait d’équilibrer les deux. Vous pouvez, dans un premier temps, étudier dans votre domaine, puis appuyez cela avec diverses formations. Ce qui est sûr c’est que la connaissance théorique doit être suivie d’une pratique.

La gestion du temps

Il n’y a pas de secrets ni de formules magiques. La gestion du temps passe par l’exploitation et l’utilisation d’un calendrier. En plus, il en existe en ligne aujourd’hui. Ce n’est pas un simple calendrier qui se contente de donner des dates. C’est un calendrier que vous pouvez personnaliser. Vous y inscrivez vos dates de début et de fin d’examens. Vous y notez les jours et les mois de chaque épreuve. Vous y inscrivez les vacances scolaires. Faites figurer également sur ce calendrier les dates auxquelles vous pensez commencer vos révisions, les passages dans les bibliothèques, les deadlines des devoirs à rendre. Bref, vous consignez sur ce calendrier en ligne tous les évènements qui rythment votre vie de lycéens et d’étudiants. Utilisez le calendrier en complément d’un agenda. Ce dernier renferme les détails de chaque événement.

La création d’un planning

Là encore, vous avez besoin d’un calendrier et d’un agenda. Ce planning est prévisionnel : vous l’organisez en vous basant sur les grands évènements du calendrier. Par exemple, vous y notez ce que vous comptez faire après le début de vos examens. Réservez des créneaux horaires pour les recherches, les loisirs, les activités universitaires en dehors des cours, etc. Établissez ce planning avant le début de chaque semaine. Même si la créativité est un atout à l’université, la gestion de votre temps devrait relever d’une routine : faites toujours la même chose à telle heure. C’est de cette manière que vous maîtrisez facilement votre emploi du temps. Naturellement, les heures et les jours de cours ne changent jamais sans des circonstances particulières. Enfin, en vous aidant d’un calendrier et en créant un emploi du temps, il y a moins de risque que vous vous adonniez à la procrastination. La vue des dates « limites » qui s’approchent constitue un moyen de pression pour vous forcer à vous mettre au travail.

La priorisation

Faites la différence entre ce qui est urgent et important. L’urgence est une priorité : faites toujours en premier vos tâches en lien avec une échéance très proche. Poursuivez avec ce qui est important (par exemple : occupez-vous des matières de base de votre filière, celles dont dépend votre réussite). Dans ce qui est important, commencez par les activités chronophages ou qui nécessitent un temps long de compréhension.

Après les cours

Lorsque vous sortez d’une discipline, vous devez avoir compris au moins 80 % de son contenu. Après les cours, n’allez pas tout de suite à vos autres activités. Ne fixez jamais de rendez-vous dans les quelques heures qui suivent la fin de journée à l’université ou au lycée. Rentrez immédiatement chez vous pour relire vos cours. Cette fois-ci, l’objectif est de les assimiler à 100 %. Vous pouvez ressortir une fois que l’objectif est atteint. Les recherches en bibliothèques ont lieu lorsque vous maîtrisez les cours et non avant.

Plus d’accessibilité

Les universités sont de plus en plus surchargées et certaines personnes ne peuvent pas suivre les cours dont elles ont envie à cause de ce problème. À l’apparition des formations en ligne, tout le monde peut accéder au cours de son choix sans restriction. Par ailleurs, contrairement à une cour dispensée en présentiel, les cours en ligne reviennent moins chers. Certains sont même payables en plusieurs tranches. Une formation en ligne est également plus accessible si vous voulez obtenir un diplôme international. Vous n’avez pas besoin de vous déplacer. Depuis votre pays, vous pouvez suivre une formation internationale.

Plus de liberté côté organisation

Les cours en présentiel obligent les étudiants à suivre les emplois de temps de l’établissement. Toutefois, bon nombre de ces apprentis ont besoin de cumuler travail et étude. Le plus souvent, ils ont besoin de se sacrifier pour pouvoir faire les deux. Les cours en ligne permettent aux étudiants d’organiser leur planning en fonction de leur travail et de leur disponibilité. Cependant, le plus souvent, les cours en ligne imposent une période définie pour les examens. Malgré le semblant de liberté dont disposent les apprentis, ils doivent quand même faire un effort pour être prêts lors de l’examen.

Des outils pédagogiques plus faciles à prendre en main

Tout le monde n’a pas la même façon d’apprendre. Si certains sont plus réceptifs avec un cours magistral, d’autres sont plus à l’aise en écoutant. Il y a également ceux qui arrivent à comprendre seulement avec des démonstrations sur vidéo. Alors pour donner à tout le monde le moyen de réussir son étude, les cours en ligne varient les outils pédagogiques. Par ailleurs, les formations en ligne permettent de mettre en relation des étudiants du monde entier.

Offrez des cadeaux pour les participants d’une convention d’entreprises

Vous organisez ou vous êtes invité à prendre part à une convention d’entreprises ou un congrès. Cela demande beaucoup de préparation et d’investissement. Mais vous pouvez en tirer un grand profit. Certains diront que ce sera des dépenses supplémentaires. Bien sûr, offrir des présents représente un coût assez conséquent. Mais, réfléchissez aux retombées sur votre entreprise. Offrez des objets publicitaires sur lesquels sont mentionnés le nom de votre boîte et les services proposés.
Ne serait-ce pas une façon formidable de faire la promotion de votre entreprise ? Les participants circuleront de stand en stand ou dans les lieux avec une sacoche estampillée de votre logo. Cet accessoire ne passera pas inaperçu. Puis, une fois qu’ils quittent les lieux et rentrent chez eux ou à l’hôtel, ils continueront de faire de la publicité pour vous. Où qu’ils aillent, en ville, dans un autre pays, tant qu’ils ont ce cadeau personnalisé sur eux, ils aident à vous faire connaître. Les trajets qu’ils effectueront, les lieux qu’ils visiteront vous seront peut-être inaccessibles. Mais ce présent parle pour vous. Il fait connaître votre entreprise et votre activité à des personnes dans différents endroits du globe. D’ailleurs, en contactant un fabricant reconnu et professionnel, vous bénéficierez d’une réduction. C’est notamment si vous commandez en grande quantité.

Idées de goodies à offrir aux participants d’un congrès

Consultez le catalogue en ligne d’un fabricant d’objets personnalisés pour vous inspirer. Trouvez ce que vous offrirez lors d’un congrès. Soyez sûr que vous allez faire plaisir aux visiteurs en faisant ce geste. Mais, surtout si celui-ci sert à quelque chose, alors vous avez droit à la reconnaissance du bénéficiaire. En effet, un objet publicitaire personnalisé fonctionnel a plus de chances d’être apprécié.
Par exemple, offrez des objets de bureau tels qu’un porte-stylo, des stylos, une calculatrice, des carnets personnalisés, etc. Un conférencier personnalisé est aussi un cadeau pratique ainsi qu’un bloc-notes. Mieux, misez sur des clés USB avec votre logo. Qui n’en a pas besoin ? Certes, tout le monde en a une. Mais, une de plus n’est jamais de trop et ne sera jamais refusée. Il en est de même d’une batterie externe pour portables. Un power bank avec le nom de votre société est un cadeau hautement apprécié. Même de simples adaptateurs, lecteurs cartes, ou câbles chargeurs multiports ont leur utilité. Prévoyez d’offrir ces goodies d’entreprises en cadeau aux participants, vous en serez remerciés. Des objets publicitaires tels que des mugs ou des vêtements personnalisés ont aussi de grandes chances de plaire. Pensez également à des sacs en papier personnalisés ou des totes bag personnalisés. N’importe qui est toujours ravi de recevoir un cadeau et cela participe à la satisfaction clientèle. Alors préparez-vous à l’avance en commandant des goodies d’entreprises personnalisés à votre image à offrir lors de votre congrès ou salon professionnel.

1. Rôle de l’orthophoniste

Le rôle principal de l’orthophoniste est avant tout de prévenir des troubles de la communication et les déficiences associées. Son champ d’intervention concerne les difficultés à exprimer à l’oral, le retard de langage et les défauts de prononciation. Au-delà de ces pathologies, l’orthophoniste peut aussi intervenir lors de troubles neurologiques, de la surdité ou de troubles du spectre autistique. Mais, il doit d’abord identifier les dysfonctionnements avant de les traiter. Lorsqu’il examine le patient, il ne s’appuie pas uniquement sur des variables physiologiques, mais aussi sur des variables socioculturelles et économiques. Son intervention vise à éduquer, conseiller et sensibiliser le public aux pathologies associées à la communication. L’orthophoniste travaille avec les patients, mais également avec d’autres spécialistes comme les médecins, les physiothérapeutes ainsi que les psychologues.

2. Formations et études

Une association qui vise à aider les jeunes à choisir un parcours pour mieux entrer dans le monde actif, donne de nombreux conseils dans son blog. Ainsi, si vous voulez devenir orthophoniste, vous devez suivre ces conseils. En général, il faut suivre une formation de 5 ans dans un centre affilié à une UFR en médecine à l’issue de laquelle vous obtenez un certificat de capacité en orthophonie (CCO). Le cursus comprend plusieurs matières dont l’anatomie, la phonation, la physique acoustique, la linguistique ou encore la psychologie. Pour espérer intégrer l’école, vous devez passer par un examen rigoureux. Les modalités d’examen peuvent être différentes d’un établissement à un autre. Mais quoi qu’il en soit, tous les candidats doivent avoir un excellent niveau en français. Après la formation, il est possible de travailler dans un cabinet individuel ou en groupe et dans un centre hospitalier en tant qu’employé.

3. Les compétences de l’orthophoniste

En plus des connaissances médicales, physiologiques et techniques pour diagnostiquer et soigner un patient, l’orthophoniste doit également faire preuve de grandes capacités d’analyse et d’observation. Dans ce métier, les qualités humaines, relationnelles et psychologiques sont aussi très importantes. Pour établir une relation de confiance avec son patient, ce professionnel de la santé doit avoir de bonnes capacités d’écoute, de communication et de discrétion. Comme les personnes qu’il soigne sont souvent amenées à lui raconter leurs problèmes, il doit alors se montrer patient, pédagogue, empathique et bienveillant. Une grande capacité de création et d’imagination est également nécessaire pour concevoir un programme adapté à chaque patient.

4. Salaire de l’orthophoniste

Un débutant en début de carrière peut gagner environ 1 600 euros par mois. Pour un orthophoniste en cabinet indépendant, le salaire est compris entre 2 500 et 3 000 euros. Si le spécialiste de la santé choisit de travailler dans des hôpitaux publics, alors sa rémunération sera en fonction de la grille salariale de l’hôpital et de sa position au sein de l’établissement. À titre illustratif, pour un orthophoniste ayant 5 années d’expérience qui travaille à temps plein va toucher environ 2 200 euros par mois.

5. Débouchés du métier d’orthophoniste

Un orthophoniste a la possibilité de travailler dans le secteur privé ou dans le secteur public et dans le secteur hospitalier ou dans le secteur extra-hospitalier. Il peut exercer son métier en tant qu’employé au sein d’une clinique ou d’un hôpital. Plusieurs institutions peuvent avoir besoin de ce spécialiste : Institut Médico Educatif, Centre Médico Psychologique, Service d’Éducation Spéciale de Soins à Domicile ou Centre de rééducation fonctionnel, etc. Ce professionnel de la santé peut choisir de travailler dans un cabinet en autonomie ou en collaboration avec d’autres orthophonistes. À cet effet, il exerce son métier de façon libérale.

6. Perspectives d’évolution

Après une formation d’orthophoniste, il n’est pas trop difficile de trouver un emploi. Ce professionnel de la santé peut exercer dans un cabinet de groupe paramédical à temps partiel. On peut obtenir un diplôme de cadre de santé après 5 ans d’expérience professionnelle. Pour un orthophoniste privé, il a la possibilité de se spécialiser dans la rééducation des personnes atteintes de troubles récurrents. Si un orthophoniste envisage de travailler dans la recherche ou l’enseignement, alors il faut poursuivre ses études jusqu’au doctorat. Que ce soient dans les cabinets privés ou les hôpitaux, les perspectives d’emploi sont nombreuses. Pour ceux qui ont de l’expérience, ils peuvent prétendre à des postes comme directeur de centres ou de cliniques de réadaptation.

Un secteur en pleine expansion

Pendant plusieurs années, le graphisme et design digital n’avaient pas leur place. La création de dessins, de logos et autres activités du même type n’avait aucun intérêt. Mais actuellement, cela a évolué et ce volet est quasi indispensable dans tous les secteurs d’activité. Le design et le graphisme digital sont issus de diverses spécialités qui ne cessent de s’étendre.

Dans presque tous les domaines, le designer numérique est indispensable. Grâce à la démocratisation de l’interactivité, ce professionnel se spécialise dans la création de sites web, la conception de logiciels, d’applications mobiles ou de services multimédias.

Collaborant avec des graphistes et d’autres professionnels, il y intègre des sons et des images. De plus, le designer digital et le graphiste sont quasi indispensables dans la mesure où toutes les entreprises ont besoin d’un site web pour avoir la chance de se faire un nom dans leur domaine.

Des débouchés multiples

Une fois votre diplôme en poche, vous avez la possibilité de choisir le statut que vous voulez. Vous avez en effet la possibilité d’exercer dans une entreprise ou de travailler à votre propre compte en tant que freelance. Ces types de statuts ont chacun leurs avantages et leurs inconvénients et il vous appartient de choisir celui qui vous convient.

Après un master en design graphique et numérique par exemple, vous pouvez évoluer dans le monde de la communication visuelle ou postuler comme designer graphique, directeur artistique, UX designer, chef de projet, motion designer, parmi tant d’autres.

Il est à noter que les métiers du design sont en pleine expansion et ont un avenir prometteur devant eux. Il concerne notamment le monde du commerce et de l’ingéniorat. Avec un diplôme approprié, il est possible d’exercer la profession de responsable en packaging. Si le secteur du transport vous attire, il est possible de vous orienter vers le design ferroviaire ou automobile. Les autres secteurs sont également accessibles comme celui du textile ou de la mode.

Des formations sur mesure

Pour devenir designer numérique ou graphiste, vous pouvez suivre plusieurs formations allant du Bac+3 au Bac+5.

Pour avoir un diplôme de niveau bas +3, le BUT Métiers du multimédia et de l’internet (MMI) et le DNMADE (Diplôme National des Métiers d’Art et de Design) constituent d’excellentes options. Mais pour acquérir plus de compétences et d’expérience équivalant à un bac+5, les étudiants doivent se spécialiser. Pour ce faire, ils peuvent opter pour une école qui forme des futurs ingénieurs en image, multimédia, audiovisuel et communication.

Les formations de type bachelor design et graphisme sont également disponibles. Ces programmes sont très prisés, car ils donnent l’occasion à l’étudiant de continuer ses études et de travailler en même temps.

Ils constituent de véritables tremplins pour intégrer le monde professionnel. Ces formations sont, en effet, axées sur la mise en pratique par le biais de stages en entreprise ainsi que la possibilité de poursuivre vos études dans une école à l’étranger si vous le souhaitez.

Se faire petit pour les autres

Contrairement à ce que l’on peut remarquer dans les sociétés, il est important d’avoir une grande modestie pour être manager. Vous devez adapter votre comportement en fonction de vos agents. En d’autres termes, vous devez agir pour le bien de votre équipe. Pour cela, choisissez la méthode managériale compatible aux traits de personnalité de vos collaborateurs. Ce qui pose souvent problème dans les méthodes de gestion d’entreprise est le manque d’implication du manager. Pour changer cela, vous devez oublier votre propre personne pour quelques temps. Optez pour une technique qui permet à chaque membre de votre équipe d’évoluer et de s’épanouir.

Diriger avec sagesse

Gérer plusieurs personnes en même temps est une tâche compliquée, mais on doit le faire avec sagesse. Il est évident que chacun est unique et possède un caractère propre à lui. S’adapter à ces différences devient alors un combat journalier quand le manager n’adopte pas la bonne méthode. Chaque dirigeant se doit d’être directif tout en ayant une certaine souplesse pour ne pas persécuter ses agents. Le secret réside dans l’engagement du manager. C’est ce que l’on appelle le management directif participatif. Le comportement d’un agent peut devenir le miroir qui reflète celui de son manager. Cela veut dire que si vous, dirigeant, oubliez l’importance de l’implication au projet, votre équipe fera de même.
Pour conclure, le choix de la méthode managériale est le pilier d’une entreprise. En cas de prise de mauvaises décisions, cette société risque sa stabilité. La pire conséquence serait l’arrêt des activités ou l’écroulement de l’entreprise elle-même.

Le métier d’un cadre dirigeant dans le digital

Aujourd’hui, grâce au développement de la technologie numérique, presque toutes les branches d’une entreprise fonctionnent avec le digital. Ainsi, la fonction de cadre dirigeant dans le digital est apparue. Cette personne a pour rôle principal d’assurer la transformation digitale dans une entreprise, c’est-à-dire qu’elle a pour mission de développer et de mettre en place la stratégie digitale sur tous les canaux de l’entreprise.

Pour cela, le cadre dirigeant dans le digital peut être amené à faire un audit de la stratégie digitale déjà existante. Il doit dans ce cas évaluer la maturité digitale de l’entreprise et la confronter avec celle de ses concurrents en effectuant une veille stratégique des acteurs du secteur. Puis, il doit créer une nouvelle stratégie digitale et la déployer. Un dirigeant dans le digital a par ailleurs pour rôle de coordonner tous les volets de la stratégie numérique avec les autres équipes, notamment l’équipe marketing, l’équipe technique, l’équipe de communication, etc. Il doit aussi garantir le reporting des diverses opérations réalisées.

Les formations à suivre pour être un cadre dirigeant dans le digital

Pour devenir cadre dirigeant dans le digital, il faut avoir un diplôme de grande école web ou de l’université. Vous pouvez par exemple suivre une formation et avoir un Master 2 (BAC +5) spécialisé dans le domaine du digital. La formation vous permet en général d’avoir une bonne connaissance des nouvelles technologies. Mais vous pouvez aussi suivre une formation diplômante comme l’executive MBA d’Audencia pour exercer le métier de cadre dirigeant dans le digital.

Cette formation fait partie des meilleurs EMBA du monde et elle est triplement certifiée par l’EQUIS, AMBA et AACSB. Ce qui distingue cet EMBA est le leadership responsable, la transformation digitale et la personnalisation de l’expérience. A noter que cette formation équivalente à un master 2 est accessible à Nantes et à Alger. A l’issue de la formation, les élèves obtiennent le diplôme « Executive MBA d’Audencia Business School ».

Pourquoi devenir manager de transition ?

Il y a un certain nombre d’avantages dans le métier de manager de transition. En voici quelques-uns : en étant manager de transition, vous avez toute latitude pour exploiter à fond toutes vos compétences, et ce, au sein de différentes entreprises et structures. Vous pouvez aussi tester votre capacité d’autonomie et voir à quel point vous êtes capable de prendre des décisions par vous-même dans l’intérêt de l’entreprise. Aussi, être manager de transition requiert un goût prononcé pour les défis, pour l’aventure et pour le risque. En fait, d’une entreprise à une autre, vous serez confronté à un environnement différent, des équipes différentes, une mission différente, pas de place pour la routine. Il faut vous attendre à des impondérables, car aucune entreprise ne ressemble à une autre même si elles sont toutes deux dans le même secteur. Aussi, le métier réclame de vous une grande adaptabilité. Mais devenir manager de transition, c’est faire la connaissance avec de nouveaux collaborateurs, côtoyer une grande diversité de profils, de personnalités. C’est aussi un métier qui vous permet de développer constamment votre savoir-faire, ce qui vous rend apte à répondre à des attentes plus élevées. Puis, étant donné que vous ne cherchez pas à vous intégrer dans l’entreprise, vous détenez une certaine liberté d’action, un certain pouvoir.

Informations utiles pour ceux qui souhaitent devenir manager de transition

Être manager de transition dans un cabinet comme celui-ci présente des atouts considérables si vous aimez le challenge, l’indépendance et si vous possédez des qualités qui apportent une valeur ajoutée aux entreprises où vous intervenez. Mais pour rester un bon manager de transition, il est essentiel de rester performant, ce qui nécessite une formation continue. Certains optent même pour des séances de coaching personnel pour ne jamais perdre la main et s’adapter à l’évolution des entreprises et des usages. C’est de cette manière que vous pourrez mobiliser les équipes et leur donner la motivation utile à la réalisation des projets, et ce, même si la situation est plutôt critique.
Côté rémunération, en principe, celle d’un manager de transition est supérieure à celle d’un dirigeant en CDI. Le portage salarial est encore plus avantageux. Evidemment, si vous apportez des contrats à un cabinet, cela vous donne droit à un complément de salaire. Pour ne pas être pris au dépourvu, sachez que le métier de manager de transition peut comporter des contraintes. Par exemple, vous devez rester constamment mobile, c’est une activité qui vous oblige à bouger souvent. Puis, il y a des périodes où il n’y a pas de mission, donc pas de salaire.